Ne laissez pas un email détruire votre entreprise

Sécurité informatique

12 août 2025

Bien avant les réseaux sociaux, les messageries instantanées ou les plateformes collaboratives, l’email était déjà le canal roi de la communication professionnelle. Et aujourd’hui encore, malgré l’évolution des outils numériques, il reste omniprésent dans la vie quotidienne des entreprises. Ce qui en fait un terrain de jeu privilégié pour les cybercriminels.

Pourquoi ? Parce que l’email est à la fois familier, rapide, peu coûteux à envoyer… et terriblement facile à falsifier. Il suffit d’une adresse modifiée, d’un lien déguisé ou d’un fichier joint malveillant pour compromettre un système entier. Un clic malheureux d’un collaborateur sur une pièce jointe piégée peut suffire à installer un logiciel espion, à déclencher un rançongiciel ou à ouvrir la porte à un vol massif de données. C’est précisément cette accessibilité combinée à un faux sentiment de sécurité qui en fait l’arme préférée des pirates.

Illustration 3D : personne sereine en méditation face à des menaces de cybersécurité (email avec hameçon, symbole d'alerte, mot de passe)

Le facteur humain : maillon faible de la cybersécurité

Si les emails sont si efficaces pour lancer des attaques, c’est avant tout parce qu’ils exploitent… l’humain. Peu de cyberattaques par email réussissent grâce à des exploits techniques sophistiqués. La majorité repose sur l’ingénierie sociale, c’est-à-dire l’art de manipuler les émotions, les réflexes et la confiance des destinataires.

Un exemple courant ? Le faux message du “fournisseur” qui réclame un paiement urgent avec un RIB modifié. Ou le prétendu “PDG en déplacement” qui demande un virement exceptionnel. Le scénario est souvent simple, mais il joue sur la pression, l’autorité, ou l’urgence pour pousser à l’erreur. Résultat : l’utilisateur devient, bien malgré lui, l’allié involontaire de l’attaquant.

Dans une PME, où les ressources sont souvent limitées et où chacun porte plusieurs casquettes, ces tentatives ont d’autant plus de chances de réussir. Et ce n’est pas une question de négligence : même les collaborateurs les plus sérieux peuvent se faire avoir s’ils ne sont pas bien sensibilisés.

L’explosion des attaques par email : chiffres et tendances

Les statistiques récentes sont sans appel. Selon le rapport 2024 de l’ANSSI (Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information), plus de 90 % des incidents de cybersécurité recensés en entreprise ont pour point d’entrée une attaque par email. En première ligne : le phishing (ou hameçonnage), les pièces jointes piégées, et les liens vers des sites frauduleux.

Les TPE et PME sont devenues des cibles privilégiées. Moins bien protégées, souvent peu formées, elles offrent une surface d’attaque plus vulnérable que les grands groupes. Et avec la montée en puissance de l’intelligence artificielle, les emails frauduleux deviennent de plus en plus crédibles, avec une orthographe parfaite, un ton professionnel, et des visuels soignés.

Une autre tendance inquiétante : la hausse des attaques dites “business email compromise” (BEC), où des pirates prennent le contrôle d’une boîte mail professionnelle pour tromper d’autres interlocuteurs de confiance. Ces attaques coûtent des millions d’euros chaque année à l’économie française.

Pourquoi les antivirus seuls ne suffisent plus

Beaucoup de dirigeants pensent qu’un bon antivirus suffit à se protéger. Malheureusement, cette croyance est aujourd’hui dépassée. La plupart des attaques par email ne contiennent pas de virus détectables immédiatement, car elles reposent sur des techniques d’usurpation, des scripts dissimulés ou des liens qui ne sont activés que plusieurs heures après la réception du message.

Autrement dit : même avec une protection logicielle à jour, le danger peut passer entre les mailles du filet, en particulier si les employés n’ont pas les bons réflexes. Les outils de cybersécurité sont indispensables, mais ils ne remplacent jamais la vigilance humaine. C’est pourquoi les experts recommandent une approche globale : combiner la technologie, la sensibilisation et des processus de vérification solides.

Le risque systémique : un email malveillant peut paralyser l’entreprise entière

Il suffit d’un seul email. Une seule personne qui clique, et c’est tout le système d’information qui peut se retrouver à genoux. L’attaque ne touche pas que le poste infecté : elle peut se propager sur le réseau, crypter les fichiers partagés, voler les accès des autres collaborateurs, voire compromettre des partenaires extérieurs.

Le problème, c’est qu’une PME ne dispose généralement ni d’un service informatique complet, ni d’un plan de réponse aux incidents bien rodé. Une attaque peut ainsi provoquer un arrêt total de l’activité, une perte de données critiques, des sanctions réglementaires (notamment en cas de fuite de données personnelles), et une perte de confiance de la part des clients.

Dans certains cas, les dégâts sont tels que l’entreprise ne s’en remet pas. Et dans d’autres, le coût de la récupération (experts, rançon, reconfiguration des systèmes) dépasse largement celui qu’aurait coûté une bonne prévention.

Ce qu’il faut retenir

Si les cybercriminels aiment tant l’email, ce n’est pas un hasard. C’est un canal universel, direct, malléable, et encore trop souvent sous-estimé. En tant que dirigeant de PME, ignorer ce risque revient à laisser sa porte ouverte en espérant que personne ne la pousse. Or, les attaquants ne se contentent plus de frapper au hasard : ils ciblent, ils préparent, et ils exploitent la moindre faille, technique comme humaine.

La bonne nouvelle, c’est qu’il existe aujourd’hui des solutions robustes et accessibles pour se protéger efficacement. Mais avant d’y venir, encore faut-il savoir reconnaître les attaques, ce que nous verrons dans la prochaine section.

L’art de la dissimulation : quand l’email devient un piège

Les emails frauduleux ne ressemblent plus à ceux d’il y a dix ans. Exit les messages mal écrits, truffés de fautes grossières ou envoyés depuis des adresses exotiques. Aujourd’hui, les cybercriminels soignent leur copie. L’email malveillant est souvent propre, crédible et contextuellement pertinent. Il peut reprendre l’identité visuelle d’un fournisseur, intégrer une signature semblable à celle d’un collègue, ou même faire référence à une conversation récente.

Ce qui rend leur détection complexe, c’est justement ce niveau de mimétisme. Et pourtant, certains indices reviennent souvent : adresse d’expéditeur légèrement différente, ton inhabituel, demande urgente ou confidentielle… Encore faut-il savoir où et comment regarder.

Le phishing : le scénario le plus courant, mais toujours aussi efficace

Le phishing, ou hameçonnage, reste le mode opératoire le plus utilisé dans les attaques par email. Il s’agit de leurrer le destinataire pour lui soutirer une information sensible : mot de passe, numéro de carte bancaire, identifiants de connexion à un outil métier, etc.

La plupart du temps, le message se présente comme une alerte de sécurité (faux message d’un service comme Microsoft, Google ou un opérateur bancaire), ou une demande d’action immédiate : “cliquez ici pour réinitialiser votre mot de passe”, “votre compte sera suspendu si vous n’agissez pas”, etc.

Les liens intégrés mènent à de fausses pages de connexion très bien imitées, où l’utilisateur entre ses identifiants… qui sont aussitôt récupérés par l’attaquant. Ces campagnes sont souvent automatisées et massives, mais certaines sont ciblées, personnalisées et redoutablement efficaces.

Les pièces jointes suspectes : quand le piège se cache dans un document

Un autre vecteur redoutable : la pièce jointe. Derrière un simple fichier Word, Excel ou PDF peut se cacher un script malveillant, conçu pour s’exécuter dès l’ouverture du document. Ces fichiers peuvent contenir des macros qui, une fois activées, installent discrètement des logiciels espions, ouvrent des portes dérobées ou déclenchent un ransomware.

Le scénario est souvent le suivant : un message anodin accompagné d’une facture, d’un bon de commande ou d’un CV — tout dépend du contexte professionnel. L’email semble crédible, la pièce jointe paraît légitime… et c’est précisément cette normalité apparente qui pousse à baisser la garde.

Un bon réflexe consiste à ne jamais ouvrir une pièce jointe non attendue, même si elle provient d’un expéditeur connu. En cas de doute, un appel ou un message direct permet souvent de lever l’ambiguïté.

Liens malveillants : quand le clic ouvre la brèche

À première vue, un lien dans un email n’a rien d’anodin. Mais dans un contexte d’attaque, ce lien peut mener vers un site frauduleux, déclencher un téléchargement automatique ou installer un script dans le navigateur.

Le danger vient du fait que ces liens sont souvent masqués derrière un texte ou un bouton (« cliquez ici », « accédez à votre espace », etc.). Il est alors facile de faire croire que l’on redirige vers un site légitime alors que l’URL réelle pointe ailleurs. Sur ordinateur, un simple survol permet de voir l’adresse réelle du lien. Mais sur mobile, cette vérification est bien plus difficile, ce qui augmente le risque.

Les liens raccourcis ou camouflés avec des services comme bit.ly ou tinyurl sont aussi couramment utilisés pour cacher une destination suspecte.

L’usurpation d’identité : quand l’expéditeur est en réalité l’ennemi

Parmi les attaques les plus perfides figure l’usurpation d’adresse email. Grâce à des techniques de spoofing, les cybercriminels peuvent envoyer un message qui semble provenir d’un contact connu : collègue, supérieur hiérarchique, fournisseur…

L’email s’affiche avec le bon nom, parfois même avec l’adresse exacte — mais en réalité, le message est envoyé via un serveur frauduleux. Cela permet à l’attaquant de gagner la confiance du destinataire, qui exécute la demande sans se douter de la supercherie.

La parade : toujours vérifier l’adresse complète de l’expéditeur, notamment en cas de demande inhabituelle. Un détail comme un nom de domaine légèrement modifié (ex. : “plusque-pro.com” au lieu de “plus-que-pro.com”) peut trahir l’attaque.

Quand l’email crée un sentiment d’urgence… méfiez-vous

Un point commun à la majorité des emails frauduleux : le recours à la pression temporelle ou émotionnelle. C’est un levier psychologique bien connu, qui vise à empêcher toute réflexion rationnelle.

Le message peut vous faire croire que vous allez perdre un accès, manquer une opportunité, ou désobéir à un supérieur si vous ne réagissez pas immédiatement. Dans certains cas, il joue même sur l’autorité (« Demande de virement urgente du PDG »), ou sur la peur (« Votre compte a été piraté »).

Cette urgence artificielle est un signal d’alerte. Aucune procédure sérieuse ne devrait reposer uniquement sur un email et sur un délai immédiat, sans autre forme de validation.

Les signes à ne jamais ignorer

Il n’existe pas de méthode infaillible pour repérer tous les emails frauduleux, mais certains indicateurs doivent immédiatement alerter :

  • L’adresse d’expéditeur semble légèrement modifiée ou inhabituelle
  • Le ton du message est inhabituellement pressant ou alarmant
  • Il y a une pièce jointe inattendue, même d’apparence banale
  • Le lien ne correspond pas au texte visible ou à l’URL attendue
  • Le message contient des fautes ou des tournures maladroites
  • Une action vous est demandée sans procédure complémentaire (ex. : virement, validation de mot de passe, ouverture de document…)

Mieux vaut trop se méfier que pas assez. Dans le doute, mieux vaut prendre le temps de vérifier.

Garder l’œil ouvert

Reconnaître une tentative d’attaque par email, c’est avant tout développer des réflexes de vigilance. Chaque membre de l’entreprise, du dirigeant au stagiaire, peut être ciblé. Et c’est souvent celui qu’on pense le moins exposé qui ouvre la brèche. La clé, c’est d’installer une culture du doute constructif : « Est-ce que je suis bien sûr de ce que je vois ? Est-ce que cette demande est normale ? »

Mais cette vigilance ne suffit pas à elle seule. Il faut l’accompagner d’outils, de formations, et de processus qui permettent de répondre efficacement aux menaces. C’est ce que nous aborderons dans la section suivante : comment mettre en place une stratégie de prévention efficace.

L’illusion de l’invulnérabilité : un frein dangereux

Beaucoup de PME pensent qu’elles sont “trop petites” pour être la cible d’une attaque informatique. Cette idée reçue, largement répandue, est pourtant l’une des principales failles de sécurité dans le tissu entrepreneurial français. Les cybercriminels ne recherchent pas forcément des entreprises célèbres ou de grandes bases de données : ils visent la facilité, et les PME — peu protégées — représentent souvent une cible idéale.

La meilleure stratégie de prévention commence par admettre la réalité du risque, quel que soit le secteur ou la taille de l’entreprise. Se dire que “ça n’arrive qu’aux autres” revient à laisser sa porte ouverte en pleine nuit, en espérant que personne ne passe devant.

Construire un bouclier technologique de base

Avant même de former les équipes ou de mettre en place des processus internes, il est indispensable de poser les fondations techniques d’une sécurité minimale autour des emails. Voici les composants incontournables d’un socle technologique efficace :

  • Antivirus et antimalwares à jour, sur tous les postes, y compris portables et téléphones professionnels. Ces outils permettent de bloquer bon nombre de scripts ou de logiciels malveillants connus.
  • Filtrage des emails via des solutions spécialisées (anti-spam, détection de pièces jointes suspectes, analyse des liens). Ces systèmes agissent comme une barrière en amont, avant que les messages ne parviennent à la boîte de réception.
  • Authentification à deux facteurs (2FA) : c’est aujourd’hui un standard de sécurité. Elle permet d’ajouter une couche de vérification pour accéder à une boîte mail ou à un outil métier. Même si un mot de passe est volé, l’accès reste bloqué sans la deuxième validation.
  • Mises à jour régulières des systèmes et logiciels. Beaucoup d’attaques utilisent des failles connues depuis longtemps, mais non corrigées par négligence.

Ce socle technique, même basique, peut empêcher la majorité des attaques automatisées, qui balayent des milliers d’adresses à la recherche de vulnérabilités.

Former les équipes : le facteur humain au cœur de la stratégie

Aucune technologie ne remplacera le bon sens et la vigilance des collaborateurs. Une stratégie de prévention efficace doit impérativement inclure une composante humaine forte : la formation. Et cela ne signifie pas forcément des sessions complexes ou des journées entières de séminaire.

La priorité, c’est de transmettre les bons réflexes à tous les niveaux : reconnaître un lien suspect, éviter d’ouvrir une pièce jointe douteuse, signaler une demande étrange, ou simplement oser poser une question avant de cliquer.

Des formats courts, réguliers, et ciblés peuvent suffire. Des plateformes d’e-learning, des ateliers interactifs ou même des campagnes de faux phishing (pour entraîner les équipes dans des conditions réelles) sont des méthodes très efficaces. Le but n’est pas de faire peur, mais de donner confiance et autonomie aux salariés face à un email douteux.

Définir une politique de sécurité claire, même dans une petite structure

On associe souvent le mot “politique de sécurité” à de grandes entreprises, dotées de services informatiques internes. Pourtant, même dans une PME de dix salariés, il est utile — et simple — de poser quelques règles claires et écrites :

  • Comment réagir en cas de doute sur un email ?
  • À qui signaler une tentative d’hameçonnage ?
  • Quels types de demandes doivent toujours faire l’objet d’un double contrôle (par exemple un virement exceptionnel) ?
  • Quelle fréquence pour les sauvegardes des données ?
  • Quels logiciels ou applications sont autorisés sur les appareils professionnels ?

Ces règles doivent être connues, comprises, et appliquées. Cela crée une culture partagée de la vigilance, et évite que chacun fasse “à sa sauce”, ce qui augmente mécaniquement les risques.

Mettre en place des vérifications systématiques pour les opérations sensibles

Certaines attaques n’ont besoin que d’un simple virement ou d’un changement de RIB pour générer des pertes financières importantes. Pour éviter cela, il est essentiel de mettre en place des procédures systématiques de double vérification pour toute opération financière inhabituelle.

Exemple : toute demande de virement ou de modification de coordonnées bancaires devrait obligatoirement passer par un deuxième canal de validation (appel téléphonique, confirmation en présentiel, etc.). Cela paraît contraignant, mais en réalité, ces contrôles prennent peu de temps… et peuvent sauver l’entreprise d’un préjudice lourd.

Dans un monde où les emails peuvent être usurpés, se fier uniquement au contenu d’un message électronique pour exécuter une action critique est une prise de risque majeure.

Surveiller en continu : détection et réaction rapide

La prévention ne s’arrête pas à la mise en place d’un système ou à une formation ponctuelle. Il faut aussi une surveillance continue des signaux faibles : connexions inhabituelles, comportements suspects, réception d’emails étranges, changement soudain de mot de passe…

Certaines solutions professionnelles permettent aujourd’hui de surveiller automatiquement les adresses email et les noms de domaine, afin de détecter d’éventuelles tentatives d’usurpation ou de piratage en amont. Cela fait partie des outils de cybersécurité avancée qui seront abordés dans la prochaine section dédiée aux solutions de Plus que pro.

Le rôle du dirigeant : moteur de la prévention

Dans une PME, le dirigeant n’est pas seulement le garant de la stratégie ou du développement commercial. Il est aussi, bien souvent, le premier utilisateur du système d’information, le porteur de l’exemplarité… et parfois, la première cible des cybercriminels. Il est donc essentiel qu’il soit au cœur de la stratégie de prévention, non seulement en mettant en place les bons outils, mais aussi en incarnant la démarche auprès de ses équipes.

C’est en intégrant la cybersécurité dans les gestes du quotidien, comme on verrouille une porte en quittant un local, que l’entreprise devient vraiment résiliente.

En route vers une cybersécurité accessible

La mise en place d’une stratégie de prévention ne demande pas nécessairement des moyens démesurés. Ce qui compte, c’est la cohérence : un socle technique solide, des collaborateurs formés, des règles claires, et une culture d’entreprise qui valorise la sécurité.

Dans la section suivante, nous allons voir comment Plus que pro propose des solutions adaptées aux PME, pour mettre en œuvre concrètement cette prévention grâce à des outils accessibles, efficaces et spécialement pensés pour les réalités des petites structures.

Les solutions pour une sécurité email renforcée avec Plus que pro : une cybersécurité pensée pour les PME, pas pour les géants

Trop souvent, les dirigeants de petites et moyennes entreprises pensent que les solutions de cybersécurité sont soit trop complexes, soit trop coûteuses. Le marché est saturé d’offres destinées aux grandes structures, avec des outils techniques exigeants et des infrastructures lourdes à déployer. Mais la réalité des PME est bien différente : pas de service informatique dédié, peu de temps, des équipes polyvalentes, et surtout un besoin immédiat de solutions simples, fiables et adaptées.

C’est précisément dans cette optique que s’inscrit l’offre cybersécurité de Plus que pro : des outils ciblés, accessibles, pensés pour prévenir efficacement les attaques par email, et plus largement sécuriser la communication électronique de l’entreprise.

Surveiller les adresses email et les noms de domaine : ne plus laisser le champ libre aux pirates

Les attaques les plus dangereuses sont souvent celles qui passent inaperçues. Parmi elles, l’usurpation d’identité numérique est en plein essor. En piratant une adresse email ou en créant un nom de domaine similaire à celui d’une entreprise, les cybercriminels peuvent envoyer des messages frauduleux à des clients, des partenaires ou des collaborateurs, en toute discrétion.

Pour contrer cette menace, Plus que Pro propose un service de surveillance proactive des adresses emails et du nom de domaine de l’entreprise. Cette solution permet :

  • De détecter toute tentative d’usurpation ou d’utilisation frauduleuse de votre identité numérique.
  • De recevoir une alerte immédiate en cas d’anomalie détectée sur vos adresses mails ou votre domaine.
  • D’anticiper les attaques plutôt que de les subir.

Concrètement, cela signifie que si un tiers tente de se faire passer pour vous (ex. : en envoyant des emails depuis une fausse adresse proche de la vôtre), vous êtes informé en temps réel. Ce type de dispositif est encore trop peu utilisé dans les PME, alors qu’il représente une des barrières les plus efficaces contre les attaques par email ciblées.

La Plateforme Cyber : un centre de pilotage pour votre cybersécurité

Plutôt que d’éparpiller les outils ou de jongler entre différentes solutions, Plus que Pro propose une plateforme centralisée, pensée comme un véritable centre de contrôle de la sécurité numérique de l’entreprise. Cette plateforme Cyber permet aux dirigeants de :

  • Visualiser l’état global de leur sécurité informatique (niveau de risque, vulnérabilités détectées, alertes récentes…).
  • Recevoir des recommandations claires et actionnables, sans jargon technique, pour corriger les points faibles identifiés.
  • Gérer les incidents en cas de tentative d’attaque (phishing, malware, compromission de compte…).
  • Accéder à des ressources pédagogiques, à des outils de diagnostic, et à un accompagnement pas-à-pas.

L’avantage ? L’entreprise n’est pas livrée à elle-même. Grâce à cette plateforme, le dirigeant peut piloter simplement la sécurité de ses communications, sans expertise technique, et sans multiplier les fournisseurs. C’est une réponse concrète au besoin de lisibilité et de réactivité face aux menaces croissantes.

La formation e-learning : transformer les collaborateurs en premiers défenseurs

Un système informatique peut être bien protégé, mais si un collaborateur clique sur un lien frauduleux, toute la structure peut vaciller. La formation continue des équipes est donc une priorité stratégique. C’est pourquoi Plus que Pro intègre une solution de formation e-learning à la cybersécurité, parfaitement adaptée aux TPE/PME.

Cette formation présente plusieurs avantages :

  • Courte, ciblée, facilement intégrable dans l’agenda professionnel.
  • Interactive : des modules pratiques, avec des mises en situation concrètes (phishing, choix de mot de passe, reconnaissance de faux emails…).
  • Accessible à tous les niveaux, y compris pour des profils non techniques.
  • Suivi des progrès et validation des acquis.

L’objectif n’est pas de transformer les employés en informaticiens, mais en acteurs de la sécurité. Chaque salarié formé devient une barrière humaine contre les attaques, capable de détecter une tentative de hameçonnage ou de signaler une anomalie.

Des solutions sur mesure pour des besoins concrets

L’approche de Plus que Pro repose sur une conviction simple : la cybersécurité ne doit pas être un luxe, mais une évidence, même pour les plus petites structures. Les trois outils présentés (surveillance des emails et du domaine, plateforme Cyber, e-learning) ne sont pas des briques isolées, mais des composantes complémentaires d’un écosystème de protection.

En choisissant Plus que Pro, une entreprise bénéficie :

  • D’une offre claire et compréhensible, sans termes techniques opaques.
  • D’un accompagnement personnalisé, avec des experts disponibles pour adapter les solutions aux réalités de chaque entreprise.
  • D’un effort de prévention accessible, sans avoir à réinventer ses process ou à investir massivement.

C’est cette capacité à rendre la cybersécurité simple, concrète et immédiatement utile qui fait la force de cette offre.

Et concrètement : pourquoi envisager Plus que pro ?

Tu es dirigeant de PME et tu sais que les menaces numériques évoluent sans cesse ? Tu veux protéger ton entreprise sans y consacrer des semaines de recherches ou de formation technique ? Alors Plus que pro propose les bons outils, au bon niveau, au bon moment.

Dans la prochaine section, nous verrons ce qu’il faut faire concrètement en cas d’attaque ou de suspicion. Car même avec la meilleure prévention, le risque zéro n’existe pas, mais une bonne gestion d’incident fait toute la différence.

Illustration 3D : personne souriante avec ordinateur portable rejetant un email contenant un virus (représenté par un insecte rose dans une enveloppe jaune)

Que faire en cas d’attaque ou de suspicion ?

Une attaque réussie par email commence souvent par un moment de doute ignoré : un clic sur un lien “bizarre”, un mot de passe saisi un peu trop vite, une pièce jointe ouverte par automatisme… La première étape d’une bonne gestion de crise consiste donc à prendre chaque suspicion au sérieux. Mieux vaut déclencher une alerte pour rien que de laisser une intrusion se propager silencieusement dans le système de l’entreprise.

Dans une PME, où le temps manque et où l’on jongle avec les priorités, ce réflexe peut faire la différence. Il est essentiel que chaque salarié se sente légitime pour signaler une situation douteuse, sans crainte d’être jugé “parano” ou “incompétent”. Car dans ces moments-là, le temps joue contre l’entreprise.

Étape 1 : isolez la menace dès que possible

Si un message suspect a été ouvert, ou si une pièce jointe a été téléchargée, la première chose à faire est de contenir rapidement le risque :

  • Déconnecter le poste concerné d’Internet (wifi ou câble réseau) pour éviter une propagation éventuelle sur le réseau de l’entreprise.
  • Ne pas éteindre l’ordinateur immédiatement, surtout si un service informatique doit analyser les fichiers ou les logs.
  • Éviter d’interagir davantage avec le message : ne pas cliquer à nouveau, ne pas répondre, ne pas transférer.

En isolant le poste, on limite les dégâts potentiels. Cette action simple peut éviter qu’un ransomware chiffre les dossiers partagés, ou qu’un virus exfiltre des données vers l’extérieur.

Étape 2 : alerter les bonnes personnes (interne ou externe)

Dès qu’un doute est confirmé ou probable, il faut prévenir immédiatement la personne ou l’équipe en charge de la sécurité informatique, ou à défaut, un référent identifié (par exemple, le dirigeant lui-même ou un prestataire externe).

Si l’entreprise utilise la plateforme Cyber de Plus que pro, une alerte peut être générée automatiquement et des actions recommandées en fonction du type de menace. Cela facilite la gestion d’incident même sans département IT dédié.

Ce qu’il faut éviter à tout prix, c’est le silence. Une attaque détectée trop tard peut avoir des conséquences lourdes : vol de données clients, piratage de comptes, fraude bancaire, etc. La réactivité est une arme puissante.

Étape 3 : identifier la nature de l’attaque

Tous les emails malveillants ne se valent pas. En fonction du scénario (phishing, lien frauduleux, pièce jointe, usurpation), les conséquences ne sont pas les mêmes, ni les actions à mener. Il est donc important de recueillir le maximum d’informations sur l’incident :

  • Capture d’écran du message reçu
  • Heure et date d’ouverture
  • Actions réalisées (clic, téléchargement, saisie d’identifiants…)
  • Comportement anormal du poste après l’action (ralentissement, messages étranges, redémarrage automatique, etc.)

Cette collecte d’informations peut faciliter l’intervention d’un expert ou d’un prestataire de cybersécurité. Plus on identifie tôt le type d’attaque, plus il est possible d’agir de manière ciblée et de limiter les dégâts.

Étape 4 : changer les mots de passe et sécuriser les comptes

Si un doute existe sur une possible fuite d’identifiants (ex. : si un mot de passe a été saisi sur une fausse page), il faut immédiatement :

  • Changer le mot de passe concerné
  • Activer ou vérifier l’authentification à deux facteurs (2FA)
  • Vérifier si d’autres comptes liés (messagerie, CRM, ERP, outils de gestion) sont accessibles avec les mêmes identifiants

Les pirates savent que beaucoup d’utilisateurs réutilisent les mêmes mots de passe sur plusieurs plateformes. En compromettant un seul compte, ils peuvent ainsi accéder à d’autres services ou se faire passer pour l’utilisateur auprès de collègues ou de partenaires.

La règle est simple : si le doute existe, les identifiants doivent être réinitialisés immédiatement.

Étape 5 : prévenir les conséquences juridiques et commerciales

En cas de fuite de données ou d’intrusion confirmée, certaines obligations légales peuvent s’appliquer, notamment au regard du RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données). Il peut être nécessaire de :

  • Informer la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés)
  • Avertir les clients ou partenaires concernés
  • Documenter l’incident dans un registre

Cela peut paraître intimidant, mais c’est aussi un gage de transparence et de responsabilité, qui renforce la confiance de vos interlocuteurs. Plus que pro, via sa plateforme, accompagne aussi les entreprises sur ces démarches, en fournissant des modèles de communication et des conseils pratiques en cas d’incident.

Étape 6 : tirer les leçons de l’incident

Une attaque, même bien gérée, reste une alerte. Il est important d’en tirer des enseignements concrets : qu’est-ce qui a fonctionné ? Qu’est-ce qui a manqué ? L’information est-elle remontée rapidement ? Les collaborateurs savaient-ils quoi faire ? Le système était-il à jour ?

Ce retour d’expérience permet de renforcer la stratégie de prévention, de mettre à jour les procédures internes, et de sensibiliser encore davantage les équipes. Certaines entreprises organisent même un court “debriefing sécurité” pour ancrer les bons réflexes et ajuster les outils.

Plus que pro accompagne cette démarche en proposant un suivi post-incident, avec des conseils personnalisés et des recommandations pour éviter que le scénario ne se reproduise.

Une crise bien gérée peut devenir une force

Aucune entreprise n’est totalement à l’abri d’une attaque par email. Mais celles qui savent réagir rapidement, méthodiquement et avec transparence en sortent souvent renforcées. Elles gagnent en crédibilité, en maturité numérique, et en culture de la prévention.

La clé, ce n’est pas d’espérer que rien n’arrive. C’est de savoir quoi faire quand ça arrive. Et pour cela, il est essentiel d’avoir un plan clair, partagé, et régulièrement mis à jour.

Dans la section suivante, nous verrons comment renforcer durablement cette culture de la cybersécurité, pour que chaque collaborateur devienne un maillon fort de la chaîne de protection.

La cybersécurité, ce n’est pas une case à cocher, c’est un état d’esprit

Il y a une erreur stratégique courante dans les entreprises : considérer la cybersécurité comme un projet ponctuel, à traiter une bonne fois pour toutes, comme on finalise un chantier. Or, la réalité est bien différente. Les menaces évoluent chaque jour. Les méthodes d’attaque se renouvellent, les outils numériques changent, les comportements professionnels aussi. Ce qui était sécurisé hier peut devenir vulnérable demain.

Dans ce contexte, la cybersécurité ne doit pas être un objectif figé, mais une dynamique continue, intégrée aux habitudes de travail et soutenue par la direction. Elle ne peut pas vivre uniquement dans les documents ou dans la tête d’un prestataire externe. Elle doit respirer à travers les actions quotidiennes : vérifier un lien, poser une question, suivre une procédure, oser signaler un doute.

Donner du sens : pourquoi cette vigilance est essentielle

La sensibilisation à la cybersécurité fonctionne rarement quand elle est perçue comme une contrainte supplémentaire, ou comme une formalité imposée d’en haut. Pour qu’elle prenne racine, il faut qu’elle fasse sens pour chaque collaborateur. Cela passe par un discours clair : la cybersécurité ne sert pas uniquement à “éviter des problèmes techniques”, elle protège aussi :

  • L’activité commerciale
  • Les relations de confiance avec les clients
  • La réputation de l’entreprise
  • L’emploi et la stabilité des équipes

Une attaque peut avoir des effets systémiques : perte de données, litiges, arrêt d’activité, baisse de chiffre d’affaires. Le lien est direct. En comprenant cela, chacun comprend aussi que sa vigilance est un acte professionnel, et non une paranoïa inutile.

Cultiver la répétition plutôt que l’exception

On attend souvent le bon moment pour former ou sensibiliser : une demi-journée disponible, un intervenant externe, une actualité médiatisée. Mais dans les PME, ces opportunités sont rares. Le secret d’une culture durable, ce n’est pas le “grand moment” exceptionnel, c’est la répétition discrète mais régulière.

Un rappel en réunion, une capsule vidéo mensuelle, une alerte envoyée en interne sur un cas réel d’attaque, une courte simulation de phishing… Ces micro-actions créent des automatismes, alimentent une culture d’équipe et renforcent la vigilance collective sans bouleverser le planning.

Il ne s’agit pas de faire peur, ni d’exiger la perfection. Il s’agit d’entretenir une hygiène numérique, comme on entretient l’ordre dans un atelier ou la rigueur dans une procédure qualité.

Nommer un référent cybersécurité, même sans équipe IT

Dans une petite structure, il est rare d’avoir un responsable informatique à temps plein. Pourtant, désigner un référent cybersécurité peut grandement fluidifier les choses. Ce n’est pas nécessairement un expert technique : c’est un interlocuteur identifié, qui connaît les procédures internes, centralise les alertes, relaie les consignes, et fait le lien avec un prestataire externe ou une plateforme de cybersécurité comme celle de Plus que Pro.

Ce rôle donne un point de repère clair à toute l’équipe. En cas de doute ou d’incident, on sait à qui s’adresser, sans tergiverser. Cela évite que les signaux faibles passent inaperçus, ou que chacun agisse dans son coin.

Faire de la cybersécurité un critère d’image et de professionnalisme

La sécurité numérique devient un critère de crédibilité commerciale. Les clients, les donneurs d’ordre, les partenaires commencent à exiger des garanties en matière de protection des données et de communication électronique. Une entreprise qui communique sur sa démarche de cybersécurité, même modeste mais cohérente, envoie un signal positif sur son sérieux, sa fiabilité, et sa capacité à s’adapter aux exigences modernes.

Cela peut même devenir un avantage concurrentiel, surtout dans les secteurs où la confiance est primordiale : artisanat, bâtiment, services aux particuliers ou aux collectivités. Valoriser sa démarche cybersécurité, c’est valoriser son engagement qualité — une logique parfaitement alignée avec les valeurs promues par Plus que pro.

Vers une sécurité organique

À terme, l’objectif n’est pas que la cybersécurité reste perçue comme un enjeu “à part”, mais qu’elle devienne un réflexe naturel, au même titre que répondre à un client ou respecter une consigne de sécurité physique. Cela demande du temps, de la cohérence, et un peu d’animation. Mais c’est une dynamique qui paye : elle protège l’entreprise de l’intérieur, renforce les liens de confiance en interne, et stabilise les bases de son développement numérique.

Sécurisez ce qui compte vraiment : votre activité

Face à des menaces numériques de plus en plus ciblées, les dirigeants de PME ne peuvent plus se permettre d’improviser. La sécurité email n’est pas un luxe : c’est une condition essentielle pour préserver son activité, ses données et la confiance de ses clients.

👉 Avec Plus que pro, vous pouvez mettre en place des solutions concrètes, accessibles et conçues pour les entreprises comme la vôtre : surveillance d’emails, plateforme de gestion des risques, formations e-learning… Un accompagnement sur mesure, sans jargon, pour passer à l’action sans perdre de temps.

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Cet article fait partie d’un ensemble de contenus consacrés à la sécurité informatique, un enjeu clé pour la protection des entreprises. Pour aller plus loin, explorez nos ressources sur la cybersécurité des TPE et PME face aux menaces numériques. 👉 Accéder à tous les articles sur la sécurité informatique

Foire aux questions (FAQ)

Pourquoi l’email est-il le vecteur préféré des cyberattaques ?

L’email est un outil universel, facile à falsifier, familier pour les utilisateurs, et souvent sous-estimé. Il suffit d’un expéditeur usurpé, d’un lien piégé ou d’une pièce jointe infectée pour compromettre toute une organisation. Son apparente normalité en fait un terrain idéal pour manipuler la vigilance humaine.

Les PME sont souvent moins protégées que les grandes structures. Elles disposent rarement d’une équipe dédiée à la cybersécurité, leurs collaborateurs sont peu sensibilisés aux risques, et les procédures de contrôle sont parfois absentes. Résultat : elles deviennent des cibles de choix pour les attaquants, qui savent que la faille humaine est plus facile à exploiter dans ces contextes.

Les attaques les plus répandues sont les messages de phishing, les faux emails de fournisseurs ou de clients qui demandent un paiement urgent, les pièces jointes contenant des virus discrets, et les liens déguisés menant vers des pages frauduleuses. De plus en plus fréquente également, la compromission de boîtes mail professionnelles, qui permet d’envoyer des messages trompeurs à l’intérieur même de l’entreprise.

Malheureusement non. Beaucoup d’attaques ne contiennent pas de virus au sens classique. Elles passent sous les radars des antivirus car elles reposent sur l’ingénierie sociale, c’est-à-dire la manipulation psychologique des utilisateurs. Les outils techniques sont indispensables, mais ils doivent être complétés par une vraie culture de la vigilance.

Un email suspect présente souvent une adresse d’expéditeur inhabituelle, un ton pressant, un lien qui ne correspond pas à ce qu’il semble indiquer, ou encore une pièce jointe inattendue. Une simple demande de virement, un changement de coordonnées bancaires ou une demande urgente émanant d’un supérieur hiérarchique doivent systématiquement éveiller les soupçons.

Il faut immédiatement déconnecter l’ordinateur concerné d’Internet, alerter la personne ou le prestataire responsable de la sécurité, changer les mots de passe utilisés, et surveiller toute activité inhabituelle. Plus tôt la réaction est enclenchée, plus les dégâts peuvent être limités.

Il est essentiel de mettre en place un socle technique de base, comme l’authentification à deux facteurs, le filtrage des emails, et la mise à jour régulière des systèmes. Mais surtout, il faut sensibiliser les équipes, même avec des formats courts et accessibles. La cybersécurité ne doit pas être un luxe réservé aux grandes entreprises.

Oui. Même dans une PME, quelques règles claires et partagées permettent de structurer la réponse face aux risques. Savoir à qui signaler un email suspect, comment réagir à une demande inhabituelle, ou vérifier un changement de RIB : ce sont des réflexes simples qui évitent de nombreux incidents.

Plus que pro propose une approche adaptée aux PME avec une surveillance proactive des emails et des noms de domaine, une plateforme simple pour piloter la cybersécurité sans jargon technique, et une formation e-learning conçue pour des équipes non expertes. C’est une solution complète, accessible, et pensée pour les dirigeants qui veulent sécuriser leur activité sans complexité inutile.

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