Le poids des avis clients

Le verdict est sans appel : « le revenu d’un professionnel de la restauration peut augmenter de 5 à 9 % avec une étoile en plus ! ».
Un enjeu devenu primordial qui a engendré la multiplication des faux avis : « Une véritable industrie s’est mise en place. Un faux avis positif coûte aujourd’hui aux alentours de 2 € ». Entre 2013 et aujourd’hui, le taux d’anomalies constaté par la DGCCRF a augmenté de 16 %.

note

Les moyens de contrer les faux avis

Ces faux avis posent un problème de crédibilité. Selon l’article, ces commentaires falsifiés sont également un moyen pour les entreprises honnêtes de se démarquer.
En effet, ces faux avis ont engendré :

  • La vigilance des médias et l’accélération de l’éducation des internautes : les consommateurs ont été alertés via les médias des scandales, comme ceux de TripAdvisor ou d’Accor.
  • Un encadrement par la loi : le projet de loi « Vers une République numérique »  développe des plateformes plus sécurisées et la présentation par les marques de leur méthode de vérification pour encadrer le marché des avis.
  • La volonté des sites d’aller toujours plus loin pour prouver leur bonne foi : Amazon a lancé une traque aux faux rédacteurs, BlaBlaCar et Airbnb ont instauré une preuve d’achat ; les marques mettent an avant la traçabilité de leurs avis pour rassurer les prospects. Mais certaines entreprises tentent encore de détourner le système avec le phénomène du « faux vrai avis ». Par exemple, un site qui diffuse trois fois moins d’avis négatifs qu’Amazon sur une fiche équivalente, ce qui montre que le prestataire a filtré les avis.

La solution Plus que pro

Plus que pro accompagne les entreprises pour leur permettre d‘afficher leurs avis clients via un process certifié ISO 20252 qui garantit leur authenticité et véracité. Le but ? Développer l’e-réputation de l’entreprise, son bouche à oreille, en favorisant le retour de l’expérience client pour une communication efficace et transparente. Vous misez sur la satisfaction de vos clients ? Vous êtes fiers de votre travail de qualité ? N’hésitez pas à rejoindre le réseau Plus que pro, les Meilleures Entreprises de France, pour augmenter votre chiffre d’affaires en moyenne de 18 % !

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Foire aux questions

Selon une enquête de l’Ifop, 88% des internautes consultent les avis de consommateurs avant d’acheter en ligne, et 73% avant d’acheter en magasin.

Oui, les avis clients sont importants pour toutes les tranches d’âge. 96% des 18-24 ans, 95% des 25-34 ans, 92% des 35-49 ans et 85% des 50-64 ans consultent les avis clients en ligne avant de réaliser un achat sur internet.

73% des personnes interrogées consultent les avis de consommateurs sur des blogs, des forums ou des sites de consommateurs avant d’acheter un produit dans un magasin physique.

96% des personnes interrogées déclarent que des avis négatifs postés sur internet concernant une enseigne qu’elles ne connaissent pas peuvent avoir un impact négatif sur leur décision d’achat. 66% des cas, les commentaires défavorables amènent les consommateurs à différer l’achat.

Des avis négatifs de clients lus sur des blogs, des forums ou des sites de consommateurs ont tendance à dissuader 85% des répondants de réaliser un achat en ligne.

Oui, des articles de presse mentionnant des informations négatives ont un impact dissuasif sur les achats en ligne pour 87% des répondants (dont 41% « tout à fait »).

Les avis clients sont de plus en plus déterminants dans le processus d’achat, et ce, quel que soit le canal de distribution : e-commerce ou magasin. Comme le révèle une enquête Ifop du 17 mars 2015, 88% des internautes consultent les avis de consommateurs sur des blogs, des forums ou des sites avant de réaliser un achat en ligne et 73% consultent les avis de consommateurs sur des blogs, des forums ou des sites de consommateurs avant d’acheter un produit dans un magasin. Les marques et les enseignes ont donc intérêt à surveiller leur e-réputation, sans oublier leur réputation tout court. Connaître les avis des clients sur les produits, les services, et l’accueil à l’intérieur de son magasin est aussi primordial si l’on souhaite se démarquer de la concurrence et augmenter sa fréquentation.

Des avis clients difficiles à collecter en magasin

Reste à récolter ces fameux avis. Il existe la méthode traditionnelle : questionnaire en sortie de caisse dans les boutiques, petits questionnaires cartonnés dans les chambres d’hôtels ou dans les restaurants mais il est difficile d’obtenir des réponses. Les clients motivés à remplir ces questionnaires le seront pour exprimer un avis extrême. Ces retours cibleront le plus souvent les plus mécontents au risque de tomber une simple gestion des réclamations des clients. L’autre méthode est d’organiser une enquête de satisfaction menée par un enquêteur. Mais cette technique est également biaisée : le simple fait d’être face à un interviewer peut amener le client à ne pas répondre en toute franchise.

Des bornes et tablettes adaptées au nouveau consommateur

L’une des solutions qui s’offre aux points de vente est l’installation de tablettes tactiles ou de bornes interactives. Cette pratique se développe. Elle permet de capter l’attention du client en lui proposant un support ludique et rapide. Le commerçant peut personnaliser ses enquêtes et le contenu de la borne ou de la tablette à son image (logo, photo, diaporama, etc.). Connectés en 3G ou en Wifi ces outils permettent d’éditer des rapports statistiques consultables à distance depuis un smartphone ou un ordinateur. En fonction des résultats, le dirigeant peut ensuite détecter des axes d’amélioration pour répondre aux attentes des clients non satisfaits. Ces nouvelles technologies servent d’outils marketing pour lancer des nouveaux produits, promouvoir les ventes… Elles servent aussi de baromètre de ressources humaines et sont un moyen de stimuler les équipes grâce aux avis clients positifs.

Foire aux questions

Les avis clients sont déterminants dans le processus d’achat et permettent aux marques et enseignes de se démarquer de la concurrence, d’améliorer leur réputation et d’augmenter leur fréquentation.

Les méthodes traditionnelles incluent les questionnaires en sortie de caisse, les petits questionnaires cartonnés dans les chambres d’hôtels ou les restaurants, et les enquêtes de satisfaction menées par un enquêteur.

Ces méthodes peuvent être biaisées, car elles attirent souvent les clients les plus mécontents et le simple fait d’être face à un interviewer peut amener le client à ne pas répondre en toute franchise.

Ces outils offrent un support ludique et rapide aux clients, permettant aux commerçants de personnaliser leurs enquêtes et de consulter des rapports statistiques à distance. Ils facilitent la détection des axes d’amélioration et servent d’outils marketing et de baromètre de ressources humaines.

En plus de faciliter la collecte d’avis clients, ces outils permettent de lancer des nouveaux produits, promouvoir les ventes, et stimuler les équipes grâce aux avis clients positifs.

Une enquête de l’Ifop révèle que les avis de consommateurs sont déterminants dans l’acte d’achat quel que soit le canal (internet ou magasin physique).

logo ifop

La lecture des avis clients est devenue un réflexe préalable à l’achat

Selon une enquête de l’Ifop diffusée le 17 mars 2015, 88% des internautes consultent les avis de consommateurs sur des blogs, des forums ou des sites avant de réaliser un achat en ligne (dont 44% « souvent »), et 73% les consultent avant d’acheter en magasin. L’e-réputation fait désormais partie intégrante du processus d’achat. Ces réflexes sont bien sûr ancrés chez les plus jeunes : 96% des répondants de l’enquête âgés de 18 à 24 ans et 95% des 25-34 ans déclarent consulter les avis de clients en ligne avant de réaliser un achat sur internet. Mais cette démarche est aussi largement répandue auprès d’une population d’âge moyen et mûr : pour 92% des 35-49 ans et 85% des 50-64 ans.

Les boutiques physiques sont également impactées par ces nouveaux comportements : 73% des personnes interrogées consultent les avis de consommateurs sur des blogs, des forums ou des sites de consommateurs avant d’acheter un produit dans un magasin. La moitié des répondants consulte les avis présents sur les réseaux sociaux avant d’acheter en ligne (52% au global, 70 % chez les 18-24 ans et 66% chez les 25-34 ans) et 44% avant d’acheter en magasin (59 % chez les 18-24 ans et 57% chez les 25-34 ans).

L’impact dissuasif des avis clients négatifs dans le processus d’achat

Les marques ont tout intérêt à surveiller leur réputation sur internet : les mauvais commentaires et avis peuvent avoir une influence négative en termes de ventes. Pour 96% des personnes interrogées, des avis négatifs postés sur internet concernant une enseigne qu’elles ne connaissent pas peut avoir un impact négatif sur leur décision d’achat auprès de cette enseigne. Dans 66% des cas, les commentaires défavorables les amènent à différer l’achat, soit en prenant un délai de réflexion supplémentaire (39%), soit en se rendant dans un magasin pour visualiser directement le produit (27%).

Concernant les achats en ligne, des avis négatifs de clients lus sur des blogs, des forums ou des sites de consommateurs ont tendance à dissuader 85% des répondants de réaliser un achat sur ce canal (dont 39 % « tout à fait »). Des articles de presse mentionnant des informations négatives ont le même impact dissuasif (87% dont 41% « tout à fait »). L’enquête montre aussi que l’importance accordée aux avis négatifs en ligne augmente avec le nombre d’achats réalisés au cours des 12 derniers mois (89% parmi les répondants qui en ont effectué 6 ou plus contre 79% parmi ceux qui en ont effectué entre 1 et 5).

Sources : www.ifop.com

Foire aux questions

Selon une enquête de l’Ifop, 88% des internautes consultent les avis de consommateurs avant de réaliser un achat en ligne, et 73% les consultent avant d’acheter en magasin.

Les avis clients sont particulièrement pris en compte par les jeunes consommateurs : 96% des 18-24 ans et 95% des 25-34 ans consultent les avis de clients en ligne avant de réaliser un achat sur internet.

Oui, 73% des personnes interrogées consultent les avis de consommateurs sur des blogs, des forums ou des sites de consommateurs avant d’acheter un produit dans un magasin.

96% des personnes interrogées indiquent que des avis négatifs postés sur internet concernant une enseigne qu’elles ne connaissent pas peuvent avoir un impact négatif sur leur décision d’achat auprès de cette enseigne.

Dans 66% des cas, les commentaires défavorables amènent les consommateurs à différer l’achat, soit en prenant un délai de réflexion supplémentaire (39%), soit en se rendant dans un magasin pour visualiser directement le produit (27%).

Des avis négatifs de clients lus sur des blogs, des forums ou des sites de consommateurs ont tendance à dissuader 85% des répondants de réaliser un achat en ligne.

Oui, des articles de presse mentionnant des informations négatives ont un impact dissuasif sur les achats pour 87% des répondants.

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Par deux arrêts de Cour d’appel, les juges font référence à l’Indicateur de la Franchise :
La Cour d’appel de Paris d’abord (Cour d’appel, Paris, Pôle 5, chambre 4, 22 Mai 2013 – n° 10/20183) a estimé : « Que la société O**…**E, outre la formation initiale qu’elle a dispensée, a transmis à la société A**…**C, le matériel technique pour exercer son activité, les logiciels professionnels, la documentation sur la réglementation professionnelle avec mise à jour régulière ainsi que des moyens de communication efficaces ; que son réseau s’est développé pour comporter 15 franchisés en septembre 2009, dont 73 % d’entre eux en réponse au questionnaire de l’Indicateur de la Franchise de septembre 2009 ont exprimé une moyenne globale de satisfaction de 78,5 % ; que dès lors la société A**…**C est mal fondée à soutenir que le concept était dépourvu de consistance et qu’elle n’a bénéficié d’aucun savoir-faire ».
Tandis que la Cour d’appel de Douai a considéré (Cour d’appel, Douai, 2e chambre, 1re section, 5 Juin 2014 – n° 13/02887) que : « Au contraire, la S**…**E produit aux débats une enquête du 27 mars 2009, publiée dans l’Indicateur de la Franchise, aux termes de laquelle il est indiqué que l’enseigne P**…**S, développée en franchise depuis 1997 et comportant 44 adhérents, a changé de tête de réseau, et que cela a visiblement généré un changement interne très conséquent, que les franchisés considèrent à 91,3% qu’il s’agit d’un ‘bon franchiseur’, un besoin de formation étant néanmoins souligné par 38% d’entre eux».
Dans les deux cas d’espèce, les parties versent au débat des informations obtenues par l’intermédiaire de l’Indicateur de la Franchise au soutien de leur prétention pour attester qu’il s’agit de « bon(s) franchiseur(s) » qui obtiennent de bons résultats « de satisfaction » . Dans les deux cas, les juges des Cours d’appel font droit aux franchiseurs. 
Ainsi, si votre DIP est attaqué par un franchisé, vous pouvez apporter des éléments concrets de votre volonté de satisfaire et d’accompagner vos franchisés grâce aux enquêtes de satisfaction de vos franchisés IDLF by Plus que pro.

Découvrez ci-dessous l’interview de François-Luc Simon, avocat depuis 20 ans et membre du Collège Experts Fédération Française Franchise.

Maître Simon explique pourquoi, selon lui, le système Plus que pro est pertinent du point de vue juridique et utile aux franchiseurs comme aux futurs franchisés.

Internet et le e-commerce ont révolutionné ces dernières années le secteur du retail et de la grande distribution, au même titre, par exemple, que l’apparition des grandes surfaces dans les années 70. Le pouvoir est dorénavant entre les mains des clients et il n’est pas prêt de le rendre. Les acteurs du commerce doivent désormais se demander comment échanger avec leurs clients et, in fine comment regagner leur confiance qui pourrait s’avérer être la monnaie du 21ème siècle. Mais qu’est-ce que la confiance ? Selon le dictionnaire, il s’agit d’une impression de sécurité auprès d’une personne à qui l’on se remet. Alors gagner cette confiance consiste à obtenir du crédit, faire en sorte que le client devienne un fan. L’enjeu dépasse les outils technologiques déployés en magasin ou les interfaces créées sur le Web ou sur les applis mobiles. En effet, au-delà de la facilité d’achat ou de la consultation d’avis d’autres consommateurs, le e-commerce a surtout bouleversé le parcours d’achat de millions de clients. L’un des meilleurs exemples est celui de vente-privee.com qui depuis maintenant 15 ans propose des ventes événementielles pour accompagner ses clients-marques dans des opérations de déstockage. Le résultat est probant puisqu’aujourd’hui ils proposent à leurs clients-membres de commencer leurs achats sur le Web, de poursuivre sur la tablette pour finaliser sur le mobile. De plus, ils sont en mesure de proposer à ceux qui n’ont pas trouvé leur bonheur de rechercher à proximité de là où ils se trouvent les offres qui leur correspondent grâce au Pass-Vente-Privée, leur appli mobile-to-store. Comment regagner la confiance des clients ?

Le parcours idéal

Tentons de définir les 3 dimensions du parcours d’achat idéal parfaitement illustré par Catherine Barba lors de son interview du 5 Janvier 2016. Premièrement, il me rend service, me simplifie la vie et m’accompagne partout sans rupture. Il doit assurer un flux continu entre les achats faits en caisse et ailleurs depuis mon mobile. Demain, tout support sera un magasin. Si je commence un panier sur un site e-commerce ou une appli, je veux pouvoir y ajouter des produits à tout moment, en « shazamant » ce qui m’a plu dans un magazine, sur une affiche dans la rue ou encore dans un point de vente physique. Je veux aussi pouvoir payer le tout où je veux : en caisse, avec mon smartphone, ou sur une table surface – le tout de façon simple et sécurisée. La deuxième caractéristique du parcours idéal est qu’il est, plus que jamais, divertissant. Les clients n’ont plus d’intérêt pour ce qui est lisse. On ne peut plus être un commerçant ennuyeux, même si on vend de la banque, de l’assurance, de la santé ou des produits industriels. L’humour, l’immédiateté et la simplicité génèrent de l’addiction et de la confiance. En Amérique, terre de l’entertainment par excellence, on l’a compris mieux que chez nous. Enfin, ce parcours idéal anticipe mes besoins et personnalise mon expérience, le tout avec empathie.

La confiance est la clé

La pionnière de l’économie du partage, l’australienne Rachel Botsman, déclarait en 2014 que « la confiance sera la nouvelle monnaie du XXIème siècle ». Le tsunami de la consommation collaborative est en tout cas un puissant révélateur du fait que la confiance a changé de camp. Depuis plus d’un an, nous pouvons observer avec beaucoup d’intérêt un phénomène qui fait proprement exploser les codes de la communication et de la vente : la montée en puissance des consommateurs. On en a l’exemple dans l’industrie des cosmétiques. Aujourd’hui, les vidéos Beauté totalisent près de 15 milliards de vues par jour sur YouTube mais les grandes marques n’en représentent que 3 %. Ce sont les youtubeuses qui contrôlent le message des marques. Autre chiffre intéressant : 60% des vidéos Beauté regardées sur Youtube le sont depuis un mobile, contre 40% pour la moyenne des autres vidéos. Ainsi, les consommateurs armés de leurs mobiles disposent d’un pouvoir de prescription supérieur à celui de toute marque ou des médias traditionnels pour faire connaitre, séduire, convaincre et faire acheter. Avec Internet, l’équation de la confiance a changé. La logique publicitaire verticale où l’on définit et contrôle sa communication ne fonctionne plus. Une marque qui émet ses propres messages pour vanter elle-même ses qualités est à la fois juge et partie, subjective et orientée. La révolution horizontale est irréversible. Décentralisée, elle passe par les réseaux sociaux, la vidéo et le mobile. Les « vlogueurs », ces consommateurs qui dispensent via Youtube leurs conseils sur les produits qu’ils ont testés, sont au cœur de cette révolution. Ils sont les nouveaux médiateurs. En France, avec ses 2 millions de fans, Enjoy Phoenix bat tous les magazines féminins en audience. Aux Etats-Unis, Bethany Mota ou Michelle Phan sont suivies par près de 10 millions de personnes. Ces influenceuses, qui ne touchent pas que les publics les plus jeunes, fédèrent des communautés incroyablement attachées.

Comment regagner cette confiance ?

Les marques vont devoir créer des services à valeur ajoutée qui vont au-delà des produits qu’elles vendent aujourd’hui. Lorsque le consommateur y voit son intérêt, il ne se sent pas contraint ou enfermé dans des logiques commerciales qui le dépassent. Le commerçant doit devenir un majordome. A ce titre, il est intéressant d’observer les nouveaux services d’assistance par SMS qui se multiplient partout dans le monde (Clac des doigts en France, GoButler en Allemagne, Magic ou Operator aux USA). Ils préfigurent ce que sera le moteur de recherche du futur. Il s’agit de développer une puissante capacité de personnalisation. Ces outils doivent faire appel à un moteur intelligent, apprenant, capable de se mettre à votre place, d’analyser votre empreinte digitale, de trier l’information et de la qualifier pour vous apporter une réponse sans même que vous ayez besoin de formuler précisément la question. L’idée est qu’après plusieurs mois d’utilisation, il suffise de dire : « fais-moi livrer ma pizza préférée chez moi s’il te plait ». L’assistant connaîtra vos goûts, votre adresse et vos données de paiement : via une API avec son partenaire de livraison, il déclenchera immédiatement le paiement et la livraison de votre Regina avec supplément piment. Les outils digitaux et les usages développés du fait de l’apparition des économies collaboratives, circulaires et de la fonctionnalité ont profondément modifié la relation entre la marque et son client. Ce dernier aspire à plus de transparence. S’il n’est pas satisfait de son traitement, les systèmes de notation 2.0 des plateformes type TripAdvisor lui ont enseigné de décrire à sa communauté les raisons de son mécontentement. Dans ce contexte, la marque n’a pas d’autre choix que de construire une relation de confiance pérenne basée sur une réactivité sans faille voire sur une anticipation du besoin de son client grâce aux outils de marketing prédictif. Il s’agit dorénavant de répondre efficacement et instantanément aux exigences d’un client attentif aux marques d’intérêt personnalisées que lui accorde la marque.   Philippe Lehartel

Foire aux questions

La confiance, dans le contexte du commerce et du e-commerce, est une impression de sécurité que le client ressent pour une marque ou un service. La confiance implique que le client est à l’aise avec la marque et qu’il est prêt à la recommander à d’autres.

Selon Catherine Barba, le parcours d’achat idéal a trois dimensions. Il doit d’abord rendre service, simplifier la vie du client et l’accompagner partout sans rupture. Deuxièmement, il doit être divertissant pour susciter de l’intérêt chez le client. Enfin, ce parcours doit anticiper les besoins du client et personnaliser son expérience avec empathie.

Avec l’essor de l’économie du partage et de la consommation collaborative, la confiance est devenue une valeur essentielle. Elle s’est déplacée vers les consommateurs qui, grâce à Internet et aux outils mobiles, ont un pouvoir de prescription supérieur à celui des marques. Ainsi, la confiance est devenue une monnaie d’échange dans l’industrie du commerce.

Les influenceurs, tels que les vlogueurs, jouent un rôle central dans la construction de la confiance. En partageant leurs expériences et leurs opinions sur des produits ou des services, ils deviennent de nouveaux médiateurs entre les marques et les consommateurs, contribuant ainsi à la confiance des consommateurs envers les marques.

Les marques peuvent regagner la confiance des clients en créant des services à valeur ajoutée qui vont au-delà des produits qu’elles vendent. Ces services peuvent comprendre une assistance personnalisée, un suivi attentif et une réponse rapide aux besoins et aux préoccupations des clients. En outre, les marques doivent s’efforcer de maintenir la transparence et de répondre efficacement et instantanément aux exigences des clients.

e-réputation entreprise

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Il nous offre un regard de l’avocat spécialisé dans la cession et l’acquisition d’entreprise.

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